(2017, juillet). Biérophiles, le Passeport en fût est une initiative qui va vous intéresser: il s’agit d’un circuit de 12 microbrasseries montréalaises qui vous donne droit à 12 savoureuses découvertes pour 40$. Vos soirées d’été et d’automne risquent d’être bien occupées!
Pour vous mettre l’eau à la bouche en cette semaine #5 du Défi Boire Local, voici une entrevue avec Catherine Roux, présidente et cofondatrice de Passeport Local inc., l’entreprise qui a lancé le Passeport en fût. Âgée de tout juste 23 ans, elle met toute son énergie et son dynamisme à mettre en valeur les talents brassicoles d’ici.
Qu’est-ce que c’est le Passeport en fût?
Qu’est-ce qui t’a inspirée pour la création de ce passeport?
Comment ton parcours t’a-t-il amenée à t’intéresser aux microbrasseries et à lancer PEF?
Depuis que j’ai eu la chance de travailler comme chargée de projets dans quelques SDC de Montréal (sociétés de développement commercial) en sortant de l’université, j’ai compris la réalité des commerces de proximité et des entreprises locales. J’ai aussi compris qu’il était possible de créer un lien de confiance fort et authentique avec eux. Depuis, je me réveille chaque matin avec le rêve et l’objectif d’avoir un impact concret sur le développement économique local de Montréal, mais aussi du Québec avec mes projets.
Depuis que j’ai lancé le PEF en avril 2016, j’ai vraiment eu un solide déclic entrepreneurial qui m’a donné envie de m’y jeter corps et âme. Et je l’ai fait. Depuis 6 mois, je travaille sur le PEF à temps plein et j’aime vraiment ça, pour ne pas dire que je «capote ben raide». J’ai eu la chance de rencontrer des partenaires extraordinaires. Trouver des solutions ou des plans B-C-D-Z à des situations impossibles, c’est ma source d’énergie qui alimente mon leadership au plus haut point.
Avec le PEF, j’ai le but précis de faire vivre une immersion complète du monde brassicole québécois à notre clientèle tout en aidant et en supportant l’entreprise locale et en participant au développement économique d’une région donnée. Je veux continuer de développer notre modèle constamment pour qu’il soit optimal, équilibré et qu’il mette de l’avant toutes les parties prenantes de notre écosystème.
Quelles sont les prochaines étapes pour le PEF?